#NosViesComptent : pour se souvenir et pour agir
#NosViesComptent, souvenons-nous de nos compatriotes touchés par l’ultra violence. Souvenons-nous et faisons le constat de l’insécurité en France.
La France est depuis quelques années touchée par une ultra violence croissante à travers tout le pays. Les indicateurs de la criminalité sont au rouge, les faits divers s’accumulent et les agressions sont quotidiennes. Quelle est l’ampleur de cette criminalité, quelles sont les causes de ce déferlement et comment y faire face ? Telles sont les questions auxquelles nous répondrons.
Les chiffres de la criminalité
La recrudescence de la criminalité a des conséquences : 1 Français sur 10 ne se sent plus en sécurité dans son quartier ou village. Cette étude de l’INSEE nous apporte un témoignage direct du ressenti global de la population face à l’ensauvagement de la société. Le terme récurrent qui décrit pleinement le changement de situation est celui de violence gratuite. Avec un taux de 956 agressions par jour en 2018 perpétrées par un individu sans “raison apparente”. Essayer de défendre une personne agressée, c’est aujourd’hui risquer de figurer parmi les victimes de coups et blessures volontaires qui sont au nombre de 688 par jour. C’est notamment ce qui est arrivé à Marin le 11 novembre 2016. Ce jeune étudiant de 20 ans en droit et sciences politiques souhaitait défendre un couple agressé dans la rue et se retrouva, à son tour, pris à partie et roué de coups par Yanis, 17 ans, déjà connu des services de police. Cette altercation le plongera dans le coma et, à son réveil, le laissa handicapé à vie.
Au premier semestre 2018, les agressions crapuleuses (vols avec violence) étaient au nombre inquiétant de 45 520 et les homicides et tentatives d’homicide représentaient 281 cas par jour. Les violences sexuelles ont vu leur nombre augmenter de 19.5 % entre 2017 et 2018 pour atteindre les 24 884 actes, ce qui représente environ 140 faits de violence sexuelle rapportés chaque jour en moyenne aux forces de l’ordre. Dans l’exercice de leurs fonctions, les agents de la paix sont eux aussi victimes d’animosité et les chiffres, alarmants, témoignent une fois de plus de la violence de notre société. C’est près d’une centaine de blessés par jour et plus de 17 000 cas de violence à dépositaire de l’autorité qui furent recensés au premier semestre 2018. C’est parmi ces victimes que figure, depuis peu, Stéphanie. Cette adjointe administrative de 49 ans fut effroyablement égorgée au commissariat de Rambouillet par un tunisien de 36 ans, prénommé Djamel, au cri de “Allah Akbar”.
Une violence omniprésente
S’il est bien une chose que l’Observatoire National de la Délinquance et des Réponses Pénales nous a apprise, c’est que notre devoir de mémoire et notre combat pour la sécurité, nous ne le devons pas qu’aux victimes du terrorisme islamique. Cet organisme dissout par la présidence Macron en 2020 (probablement car ce thermomètre de la violence dans notre pays commençait à le gêner), nous a permis de constater que quotidiennement, plus de 120 attaques au couteau sont perpétrées sur le territoire national. C’est une véritable guérilla, qui se tient en France et l’inaction des gouvernements successifs devient criminel.
Encore récemment, les français ont pu découvrir, avec effroi, l’histoire de Théo. Ce jeune homme de 18 ans venait d’obtenir son Baccalauréat 3 jours auparavant et achevait son dernier jour de travail en tant que vendeur à Bouygues Telecom, lorsqu’il fut assassiné par un ressortissant sénégalais de 62 ans. Alain Kelyor, le maire LR d’Emerainville, s’exprima ainsi sur le meurtre : « C’est triste, c’est impensable, mais c’est la société actuelle ». Comment souhaiter vivre et grandir dans une société où une telle cruauté est devenue monnaie courante ?
Pour en finir avec ces tragédies
Un tableau se dresse néanmoins au fil des actualités, des témoignages et des noms d’agresseurs. Nous parvenons à distinguer l’envers du décor de l’immigration dont nous subissons la politique. Cette immigration, passée de 5 à 10 % en l’espace de 70 ans, qui se voulait autrefois un système d’assimilation, est désormais un rouleau compresseur écrasant le peuple français et le menaçant. Dans son livre L’archipel français, Jérôme Fourquet nous livre l’évolution de différents prénoms recensés sur notre territoire. Nous y apprenons que 18 % des nouveaux nés en 2019 possèdent un prénom arabo-musulman. Alors qu’au début du XXe siècle, c’est le prénom Marie qui était plébiscité à plus de 20 % ; il passe en 2015 à moins de 0.3 %. Pour Patrick Stéfanini, membre du conseil d’Etat, ce chiffre est la démonstration que “la machine à intégration française ne fonctionne plus”. Or, pour constituer un peuple et créer un sentiment de fraternité, l’assimilation est fondamentale.
Lors de son départ du Ministère de l’intérieur, Gérard Collomb, en 2018, avait annoncé « Aujourd’hui on vit côte à côte, je crains que demain on ne vive face à face ». Ce constat de guerre civile imminente, marqué par le départ du ministre pourtant chargé de la sécurité des français, montre bien l’impuissance et le manque de courage du gouvernement en place. L’abandon de l’assimilation, des frontières, du retour de l’ordre, les accommodements raisonnables avec l’islamisme sont les véritables maux de ce pays et les principales causes de l’insécurité croissante. Le constat est fait : le temps du recueillement, du deuil et du devoir de mémoire doit être suivi d’un temps d’action.
Français, réveillez-vous !