De l’importance de la préférence nationale
La préférence nationale apparaît aux yeux de la bien-pensance de gauche et de l’élite mondialiste comme une abomination. Pourtant, elle est essentielle pour n’importe quel État, tant d’un point de vue philosophique, que social et économique. Génération Z revient cette mesure fondamentale du programme d’Éric Zemmour.
La préférence nationale, rien de plus que du bon sens
La préférence nationale, considérée par certains comme « un truc de fachos », est un concept qui n’est rien de plus que la volonté de penser au bien-être de ses citoyens en priorité, l’État étant le garant dudit bien-être.
La nation est un cadre qui est censé protéger ceux qui y vivent. Ainsi, il est parfaitement légitime que l’État, qui n’en est que l’extension, mette en place des mesures qui assurent la préservation du niveau de vie de ses citoyens et de leurs emplois.
Or, depuis 40 ans, nos élites mondialistes ont préféré choisir leur portefeuille au détriment de notre industrie qu’elles bradent, de nos emplois qu’elles ne voient que comme un surcoût, de nos compatriotes qu’elles méprisent. Depuis 40 ans, elles recourent à l’immigration massive dans le seul but de faire des économies sur nos salaires, sur nos travailleurs, pour toujours plus de profits.
Cette immigration a un impact désastreux sur notre niveau de vie. Elle permet aux patrons de tirer les salaires vers le bas en important de la main d’œuvre peu qualifiée et bon marché. De plus, cette main d'œuvre étrangère islamise nos banlieues et pèse sur notre système social, car une grande partie des immigrés sont inactifs et perçoivent les aides payées par le dur labeur de nos compatriotes.
Le résultat est sans appel : désindustrialisation, chômage de masse, appauvrissement et smicardisation sont le pain quotidien de millions de Français. Ceux-ci voient leur niveau de vie s’effondrer alors qu’autrefois, les mesures du général de Gaulle l’avaient considérablement augmenté et avaient donné aux Français les perspectives d’un avenir prospère.
Tout cela doit cesser. La France doit retrouver sa grandeur. Elle doit sortir de la spirale infernale dans laquelle elle s’est engagée, mais aussi rayonner à nouveau à l'international, sur le plan culturel, économique et diplomatique.
Ce que propose Éric Zemmour
Éric Zemmour entend bien mettre un terme à l’ouverture aberrante de notre système social au monde entier. Comme il le dit si bien : « Il faut que la préférence nationale redevienne nationale. » Attaché à notre État-providence et soucieux tant de sa conservation que de sa pérennité, il souhaite débarrasser les travailleurs français du poids de l’immigration. Ainsi, les 30 milliards d’économies qui résultent de la fermeture de ces droits aux étrangers permettront une baisse de la CSG chez tous les travailleurs français gagnant moins de 2 000 euros. Pour les smicards, cela représente l’équivalent sur l’année d’un treizième mois de salaire. Cette mesure bénéficiera et profitera à une très grande partie des salariés français, puisque le salaire médian est de 1837 euros en 2019, selon l’INSEE.
Mais pas d’inquiétude pour les étrangers qui travaillent en France, ceux-ci auront bien sûr droit aux avantages de notre système social. En contrepartie – et c’est bien normal – ils devront travailler et cotiser pour obtenir ces droits. Ce faisant, Éric Zemmour souhaite attirer les migrants qui viennent en France pour travailler et dissuader ceux qui ne viendraient que pour profiter de nos acquis sociaux.
Par ailleurs, Éric Zemmour ne compte pas s’arrêter là en ce qui concerne la préférence nationale. Sur son site de campagne (www.zemmour2022.fr) le dernier paragraphe du volet « industrie » est très clair : la réindustrialisation ne peut se faire que par la préférence nationale. Tout d’abord, il propose de contrevenir aux mesures liberticides de Bruxelles, qui nous empêchent de constituer des champions nationaux. Ensuite, Éric Zemmour compte favoriser les fournisseurs nationaux, tant du côté de la commande publique que de celui des consommateurs. Dans une optique keynésienne, il s’agit de la meilleure façon de créer de l’emploi et d’engager un cercle vertueux qui permet de réduire le chômage.
Par conséquent, choisir la préférence nationale dans le domaine économique, c’est aussi doter la France de nouvelles entreprises, et relancer l’emploi. C’est agir collectivement pour redynamiser la France par nos actions individuelles en consommant français et en nous servant de l’État pour créer des emplois et favoriser la consommation par le biais de la commande publique.
C'est faire en sorte que la France reprenne la place qui lui est due.